Mise à l'eau - 1° journée - transfert vers port Saint Louis
Nous nous rendons tous les deux sur un week-end de 3 jours à Hyères où
René nous retrouve dans un café proche de la gare devant un petit
déjeuner après une nuit passée dans le train couchette.
Je découvre le bateau, conforme à l’idée que je m’en étais faite à un détail près. Les photos des coursives ne m’ont pas permises de me rendre compte de la faible largeur des portes dans celles-ci.
Il nous faut armer le bateau et le mettre à l’eau à l’aide de la grue,
tellement reconnaissable. Et tout ceci dans la journée de samedi pour prendre la mer
le lendemain.
Je découvre le bateau, conforme à l’idée que je m’en étais faite à un détail près. Les photos des coursives ne m’ont pas permises de me rendre compte de la faible largeur des portes dans celles-ci.
Journée d’hiver sous le soleil avec un ex-propriétaire
très agréable et intéressant qui a bourlingué et a pleins de choses à
partager. René a été pleins d’attentions à notre égard et le courant
est bien passé. Que du bonheur.
Journée de navigation très agréable nous permet de découvrir le bateau
sur l’eau, au large des îles de Porquerolles. Sous spi en partie, puis au grand large où un run à 15 nds nous confirme son potentiel.
Nous
longeons la côte et laissons Marseille et arrivons à la nuit dans un
décor que je n’avais jamais vu, plutôt laid et malodorant. Les sites
industriels et autres raffineries allumés de toute part jalonnent cette
partie de la côte jusqu’au canal menant à Port Saint Louis.
Dernières gorgées de Champagne à bord que l’on partage avec René, sa fille et son ami venu le récupérer. Nous sommes heureux mais nous sentons l’amertume et la difficulté que René a de laisser son bateau, un petit morceau de lui. Il ne se retournera pas en quittant le bord. Cela nous laisse deviner qu’il ne lui est pas facile de se séparer de son bateau.
Le jour levé nous laisse découvrir un paysage très particulier. La nuit a été ponctuée de bruits sourds lors des déchargements des cargos voisins.
A l’assaut de la capitainerie, nous confirmons notre demande pour laisser le bateau jusqu’à mi juillet, date à laquelle nous prendrons nos vacances pour ramener le bateau plus prêt de chez nous, à La Rochelle. Nous prenons également rendez vous pour le remettre à l’eau en avril prochain, où pendant les vacances nous irons découvrir la Corse en famille. Ce serait vraiment dommage de passer à côté de cette opportunité et c’est l’occasion de faire un galop d’essai avec nos filles.
Que de stress !!! Le bateau est sorti à l’aide d’un tracteur et d’une
remorque, les poutres repose sur des patins avant et arrière. Chaque
creux est répercuté lors du déplacement et le bateau bouge légèrement.
Il est posé sur quelques cales en bois tout prêt de la Capitainerie, ce
qui n’est pas sans rassurer le capitaine, le chantier est tellement
vaste. Helmut nous amène à la gare de Marseille pour rentrer à Tours en
quelques heures.
Dernières gorgées de Champagne à bord que l’on partage avec René, sa fille et son ami venu le récupérer. Nous sommes heureux mais nous sentons l’amertume et la difficulté que René a de laisser son bateau, un petit morceau de lui. Il ne se retournera pas en quittant le bord. Cela nous laisse deviner qu’il ne lui est pas facile de se séparer de son bateau.
Le jour levé nous laisse découvrir un paysage très particulier. La nuit a été ponctuée de bruits sourds lors des déchargements des cargos voisins.
A l’assaut de la capitainerie, nous confirmons notre demande pour laisser le bateau jusqu’à mi juillet, date à laquelle nous prendrons nos vacances pour ramener le bateau plus prêt de chez nous, à La Rochelle. Nous prenons également rendez vous pour le remettre à l’eau en avril prochain, où pendant les vacances nous irons découvrir la Corse en famille. Ce serait vraiment dommage de passer à côté de cette opportunité et c’est l’occasion de faire un galop d’essai avec nos filles.